Conscient de ce qu’il n’est pas fautif dans cette affaire de non-respect de contrat soulevée par la structure GV Communication, l’artiste ivoirien Debordo Leekunfa a livré, à travers la publication d’une vidéo sur les réseaux sociaux, sa version des faits.
En effet, après avoir été accusé par la structure GV Communication pour non respect de contrat, l’artiste ivoirien Debordo Leekunfa a été condamné à verser une somme de dix million de francs CFA.
Guillaume Vergès réclame un dédommagement…
Guillaume Vergès, responsable de GV Communication accuse Debordo Leekunfa de n’avoir pas respecté les clauses de leur contrat pour une série de concerts au Burkina Faso. C’est pourquoi, il voudrait à tout prix se faire dédommager pour avoir perdu beaucoup d’argent.
L’artiste Debordo de son côté, ne se reconnait pas comme fautif dans l’affaire. Il explique que rien ne s’est passé comme prévu pour la série de spectacles au Burkina. Celui-ci accuse plutôt Guillaume Vergès de n’avoir pas respecté ses engagements.
Retour sur les faits…
Pour le premier spectacle à Bobo Dioulasso, Debordo dit être rentré dans ses fonds propres après avoir maintes fois supplié Guillaume Vergès de lui verser son cachet. Pareil pour le deuxième spectacle à Ouagadougou.
Aussi, explique t-il que c’est pour ne pas être dupé encore qu’il a catégoriquement refusé de monter sur scène à Koudougou pour le troisième spectacle car Guillaume Vergès avait refusé de lui verser la totalité de son cachet.
« Je n’ai pas joué n’ayant pas reçu mon cachet » a-t-il expliqué. « Personne ne peut bloquer mes voitures. J’ai confiance en la justice de Côte d’Ivoire. Je vais prendre mon argent au Burida » a t-il laissé entendre avec confiance.
L’artiste ivoirien Debordo ne circule plus dans son véhicule X6 blanche. Pour cause, comme annoncé, ses droits au Burida ont été saisis par les avocats de GV Communications et cela semble ne pas être suffisant pour éponger les 10 millions F Cfa qu’il doit toujours.