Suite à la publication du chroniqueur béninois Constantin Amoussou, Bienvenu Dêdêgnon Milohin n’est pas passé par mille chemin pour lui répondre. En effet, celui qui croyait résolument enterrer la foire ou de préférence ce récital de provocations sur fond de haine et d’envie délibérer dans l’optique de nuire et d’entacher la réputation des uns et des autres pour peu que, dans leur marche a répondu sans langue de bois à Constantin Amoussou. Pour Bienvenu Dêdêgnon Milohin, la sagesse recommande le silence car on ne doit parler que de ce que l’on sait pour des gens d’un certain niveau.
« Je pense que l’auteur, s’est laissé embrouiller dans cet écrit, certainement victime de la colère à laquelle je veux humblement l’inviter à s’affranchi »
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En réponse à cette publication de Constantin Amoussou, « …Comme d’ailleurs Célestine Zanou qui disait se battre pour les valeurs et une dynamique démocratique et était cependant une très proche amie politique de Compaoré, assassin de Sankara, modèle de son disciple Bienvenu… », il écrit « la lutte ne doit pas être un prétexte à tout et le bon sens meurt quand l’esprit s’émerveille dans la constante volonté de nuire ».
Aussi, a-t-il invité le chroniqueur Constantin Amoussou à s’évader un peu des livres pour appréhender dans sa réalité le jeu politique et les relations humaines, à procéder à la définition des limites de champs entre amitié, soutien politique et soutien de conduite politique afin de conclure par lui-même que cette publication était une bourde de trop.
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Voici l’intégralité de sa publication
| Je croyais résolument enterrer la foire ou de préférence ce récital de provocations sur fond de haine et d’envie délibérer de nuire et d’entacher la réputation des uns et des autres pour peu que, dans leur marche, ils ne posent pas exactement les pas dans les nôtres simplement parce-que dame nature les a doté d’instinct en longueur d’avance sur notre naïveté fièrement exhibé avec suffisance et écart
La lutte ne doit pas être un prétexte à tout Le bon sens meurt quand l’esprit s’émerveille dans la constante volonté de nuire et c’est exactement ce que m’inspire cet extrait de ta publication du jour : « …Comme d’ailleurs Célestine Zanou qui disait se battre pour les valeurs et une dynamique démocratique et était cependant une très proche amie politique de Compaoré, assassin de Sankara, modèle de son disciple Bienvenu… » Je ne sais qu’elle est la motivation de cette inspiration. Mais je voudrais inviter l’auteur à s’évader un peu des livres pour appréhender dans sa réalité le jeu politique et les relations humaines, à procéder à la définition des limites de champs entre amitié, soutien politique et soutien de conduite politique afin de conclure par lui-même que cette publication était une bourde de trop Ceci étant, il me plaît de soumettre mon ami a ce petit exercice auquel j’espère, il souscrira de bonne foi Qui sont les amis de Constantin Amoussou dans l’arène politique Béninoise et/ou africaine? Pour quoi avoir délibérément choisi de mettre sous les projecteurs les relations entre les autres sans nous soumettre au cas d’école que je suppose il représente pour mieux nous inspirer? Est-ce une hypocrisie ou juste un oubli? Le cas échéant j’ai soif du rattrapage. Que comprendre par l’expression *amitié politique*? Existe-t-il, pour l’auteur, une différence entre avoir tel pour ami, accorder un soutien à un ami et soutenir les actes et comportements d’un ami ? Je pense que l’auteur, s’est laissé embrouiller dans cet écrit, certainement victime de la colère à laquelle je veux humblement l’inviter à s’affranchir Dans l’ignorance du contenu politique des relations citées pour justifier sa colère, la sagesse recommande le silence car on ne doit parler que de ce que l’on sait pour des gens d’un certain niveau à moins de vouloir jouer sur les gens d’esprits faibles et là je tiens à m’en désolidariser Avec fierté je revendique cet honneur d’être disciple de la Présidente Célestine Zanou de même que j’assume ma forte tendance SANKARISTE. Mais en même temps je respecte la proximité entre les deux Hommes qui te posent visiblement problème car non seulement j’en sais beaucoup plus que lui mais j’ai mais j’ai soif d’en savoir davantage sans célébrer publiquement mes limites. LA DIFFÉRENCE EST UNE RICHESSE |