Côte d’Ivoire : en dépit du mandat d’arrêt immédiat lancé contre lui, DJ Arafat riposte

Dans l’affaire dite de la bastonnade d’un de ses danseurs, le chanteur ivoirien DJ Arafat a été condamné par la justice ivoirienne à 12 mois de prison ferme assorti d’une amende de 20 millions F Cfa.

En tournée européenne pour une série de concert, DJ Arafat, le numéro un du couper décaler s’est expliqué à ses fans suite au verdict rendu par le procureur le vendredi 25 mai 2018 en Côte d’Ivoire. Depuis Madrid, en Espagne, où il se trouve dans le cadre de sa tournée européenne, Arafat a rassuré ses fans qu’il ne séjournera pas en prison en accusant Assalfo d’avoir diligenté des choses contre lui. « A’Salfo est allé voir le Procureur pour diligenter une enquête contre moi. Si quelque chose m’arrive, c’est lui » a-t-il laissé entendre dans sa vidéo en direct sur Facebook. Il accuse ainsi Assalfo et beaucoup d’autres personnes qu’il s’est abstenu de nommer, de vouloir le voir en prison : « beaucoup de personnes qui veulent le voir en prison sont en train de faire la fête ».

Avec un air plutôt serein, il rassure « toute la terre » qu’il n’ira pas en prison pour avoir choisi la musique au lieu de la délinquance. « Je rassure toute la terre que je n’irai pas en prison. J’aurais pu choisir la voie de la délinquance ou être braqueur, ce qui pouvait m’emmener à la prison et à la mort. Mais j’ai décidé de faire la musique ».  Remerciant la justice ivoirienne pour son effort, le chanteur ivoirien DJ Arafat encore appelé Beerus Sama a également indiqué qu’une plainte est encore pendante à la Direction de la police criminelle contre le petit Marc Régis Naï qui transformait sa maison en fumoir et qui l’a volé.

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