Au Bénin, dans le département du Borgou, la fièvre hémorragique causée par le virus Lassa a été de nouveau présente. Il y a eu un décès dans la commune de Parakou, affirme le confrère La Nouvelle Tribune.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, l’homme peut contracter le virus de Lassa en contact avec des aliments ou des articles ménagers contaminés par l’urine ou les excréments de rongeurs. Aussi, la transmission se produit entre les personnes et en laboratoire, en particulier dans les hôpitaux où les mesures de prévention et de lutte anti-infectieuse sont insuffisantes.
Il y a quelques années, le Bénin, le Ghana, la Guinée, le Libéria, le Mali, la Sierra Leone et le Nigéria ont été touchés par la fièvre de Lassa. Le taux de mortalité dans le monde est de 1 %. De plus, les patients graves peuvent atteindre 15 % en milieu hospitalier. Les chances de survie augmentent avec des soins de soutien précoces axés sur la réhydratation et le traitement des symptômes.