Une femme a découpé le pénis de son mari avec des ciseaux, deux fois dans la même nuit, après avoir découvert qu’il entretenait une relation extra conjugale avec une maîtresse de 21 ans.

Fan Lung est père de cinq enfants et marié à une certaine Feng. Vivant à Shangqiu en Chine, son épouse a récemment découvert qu’il le trompait avec une maîtresse âgée de 21 ans. Furieuse, Feng a décidé de se venger de la pire des manières pour un homme…Ainsi, l’UPI nous apprend que pour payer la note à son infidèle de mari, elle lui a tranché le pénis avec des ciseaux. L’homme s’est alors rendu aux urgences pour se faire recoudre son organe, ce qu’ont réussi les médecins.

Mais la soif de vengeance de Mme Lung ne s’étant pas estompé, elle s’est rendue à l’hôpital trois jours plus tard, dans le but de  lui couper le pénis, une seconde fois. Le couple s’est ensuite battu à l’extérieur de l’hôpital mais a pu être séparé par des membres de l’équipe médicale. Feng a été transférée dans une unité de soin avant d’être arrêtée par la police, pendant que son mari a été reconduit aux urgences, en raison de la grande quantité de sang perdue. Le pire est que l’organe de l’époux n’a pas été retrouvé… Il aurait probablement été mangé par un animal errant, conclut la dépêche de l’UPI…

La maîtresse de Fan, Mme Zhang, s’est rendue plus tard à son chevet et comme le rapporte le site du Mirror,  la jeune femme de 21 ans a déclaré vouloir prochainement se marier et avoir des enfants avec son amant, puisque sa fertilité n’est pas  atteinte.

Pour corriger ses troubles de vision, un homme, un quinquagénaire a pris en surdose du sildénafil aux Etats-unis, ce qui lui a causé des répercussions graves sur sa santé.  

Aux Etas-unis, dans la région de Massachussets, un quinquagénaire souffrant de lésion à la rétine a endommagé sa santé en dépassant les doses de médicaments prescrites. Il a eu à consommer une bouteille de 750 mg
sildénafil au lieu de 50mg. Ce qui lui a coûté quelque temps après, la perte de la vue. En effet, selon des sources concordantes et selon un rapport médical, il est peu probable que ce victime retrouve la vue.

Notons que le vendredi 11 janvier passé, un cas similaire s’est produit où une personne âgée de la trentaine a vu rouge après avoir consommé plus qu’il ne faut du viagra.

A Mvouti, dans le Mayombe, un traitement pour soigner les hommes qui ont des problèmes de dysfonctionnement érectile fait rage. Une femme guérit ce mal en se faisant pénétrer par ses patients. Tout homme souffrant d’une faiblesse sexuelle devient très virile après avoir pénétré cette fameuse guérisseuse.

Des centaines d’hommes souffrants ou pas de faiblesse sexuelle, se dirigent dans la localité de Mvouti, où, une guérisseuse, dénommée « maman Vicky » soignerait cette anomalie masculine à travers une pénétration vaginale. Le secret consiste juste à jouir dans le sexe de la tradipraticienne.

De Dolisie, Pointe-Noire et même du Cabinda, des hommes de tout âge ont trouvé satisfaction à Mvouti. Le traitement qui coûte 12000 FCFA, comporte aussi ce bonus sexuel qui est sans doute, ce qui motive plus les clients. Selon quelques indiscrétions de la guérisseuse, relayé par le site NOUCHI.com,  certains hommes, ne présentant aucun signe de faiblesse sexuelle viennent de plus en plus. Il paraîtrait que le sexe de la femme serait très serré et difficile à pénétrer.

Rodhel Makaya, un cabindais d’une cinquantaine d’années, explique avoir retrouvé le sourire dans sa vie sexuelle grâce à  «  maman Vicky ». L’angolais qui avait perdu la virilité vivait dans une angoisse terrible, incapable de satisfaire son épouse. C’est un ami qui lui aurait suggéré de faire le voyage de Mvouti. Outre  la pénétration,  « maman Vicky » excise légèrement le pénis pour y déverser des poussières du sexe de porc-épic. A noter aussi, que c’est au client de choisir le mode de pénétration, lors de la consultation.

Heureuse de redonner aux hommes du sourire, maman Vicky qui affirme avoir hérité de ses ancêtres ce don, initie aussi ses deux filles, à cette activité sans doute très lucrative.

Un acte macabre  s’est produit à N’Dotré, dans la commune d’Àbobo. Un homme persuadé de l’infidélité de sa femme, a découpé son amant.

Si  Abobo est réputé pour sa gastronomie avec ses maquis proposant des mets uniquement locaux, la ville est également reconnue comme le refuge des migrants considérés comme les personnes à faible revenus.  A N’Dotré, l’un des quartiers périphériques  d’Abobo, une scène ignoble est venue troubler la quiétude des habitants. En effet, selon la presse locale, .la police a découvert le corps sans vie d’un homme vêtu d’un teeshirt noir et d’un short bigarré, baignant dans une marre de sang.

De sources sécuritaires, la victime serait un ressortissant béninois, dénommé Boga  Adinsi et conducteur de «gbaka ». Selon la même source, il aurait été charcuté par un voisin de son quartier pour avoir entretenu des relations sexuelles avec la femme de son bourreau qui, soutenant mordicus avoir des preuves de leur liaison,  a déversé toute sa colère sur ce dernier, en le découpant à coup de machettes.

La police a ouvert une enquête afin de déterminer les contours de cet acte affreux. En attendant, le corps de la victime a été transféré à la morgue.

Absent de son pays, depuis le 24 octobre dernier à cause d’un accident vasculaire cérébral, Ali Bongo s’est retourné discrètement au Gabon dans la nuit du 14 au 15 janvier et il est prévu pour ce mardi 15 janvier au palais, la cérémonie de prestation de serment des 38 membres du nouveau gouvernement.

Après deux mois et demi d’incertitude, de rumeur et de polémique autour de la santé du président Gabonais Ali Bongo, enfin, les oiseaux de mauvaises augures vont se taire. En Convalescence précédemment à Rabat au Maroc, Ali Bongo est de retour au palais présidentiel de son pays.

Ainsi, a t’il interrompu sa séance de convalescence à Rabat, au Maroc pour pouvoir assister à la cérémonie de prestation de serment des 38 membres du nouveau gouvernement qui aura lieu ce mardi 15 janvier dans l’enceinte du palais à Libreville. En effet, ce sera la première apparition publique d’Ali Bongo, depuis qu’il est frappé par cette terrible maladie d’AVC le 24 octobre dernier. Ce sera donc une occasion pour les Gabonais de scruter la capacité de leur chef d’Etat non seulement de prendre part à cette cérémonie de prestation mais aussi de pouvoir continuer par diriger le pays. Ce qui va soit confirmer les rumeurs sur son état de santé ou les infirmer.

Aujourd’hui, choisir son partenaire avec qui passer le reste de sa vie à un âge donné est une question d’actualité dans le rang de la jeunesse. Comment faire alors le bon choix de la personne qui nous convienne? La réponse à cette question semble être un peu relative dans le cœur de la jeunesse Sénégalaise au point où elle se fixe des critères qui parfois sont recherchés. Ce qui fait qu’elle ne trouve pas à temps leur âme sœur.

La jeunesse aujourd’hui est une période de vive instabilité sentimentale. A cette période, le problème de savoir comment choisir son partenaire avec qui vivre le reste de sa vie se pose avec acuité. A cet effet, les critères de choix sont un peu relatifs en ce sens que l’ambition de rencontrer la bonne personne est souvent confrontée à des contraintes, telles que la rareté de la personne qui correspond le plus aux critères recherchés. Ce qui fait que ces hommes ou femmes recherchent sans trouver leur âme sœur.

Ainsi, au Sénégal, 1.544.480 jeunes femmes en âge de se marier sont encore célibataire, à la quête de mari, selon une étude de la statistique et de la démographie (Ansd) rapporté par Negronews. Avec cette statistique remarquable, tout le monde s’inquiète et se demande, si le pays est ainsi maudit, puisque les femmes n’arrivent pas à trouver leur conjoints bien qu’elles soient éduquées, très belles, bien faites, intelligentes.

Mais la cause est bien ailleurs. Dans le pays, ce phénomène qui défraie la toile, s’explique sous diverses formes. En effet, selon Aida Faye, une veuve à la retraite, les jeunes femmes en sont arrivées là parce qu’elles sont souvent victimes d’abus d’innocence par les hommes qui les épousent, leur font volte-face et qui au finish les relâchent. Ce qui fait qu’elles perdent leurs confiances en ces hommes et ont souvent la peur de reprendre une autre relation. «Les femmes sénégalaises n’arrivent pas à se marier car la plupart des hommes abusent d’elles pendant l’adolescence pour ensuite vaquer à d’autres occupations et quand il s’agit de les marier, il n’y a plus personne.».

Mais, selon Khady Fall, jeune mariée de 26 ans, la raison est tout autre: «La plupart des femmes ici sont très exigeantes en ce qui concerne la situation financière de leur prétendant, en vu de cela, les hommes s’éloignent de plus en plus et préfèrent même se marier avec des étrangères». C’est bien ce que soutient aussi un étudiant en journalisme/ Communication à l’ISEG au Sénégal,Habib Ndiaye alias Bibo «Ce revirement de situation est dû au fait que les femmes sénégalaises sont très matérialistes. C’est la raison pour laquelle, les hommes confrontés à la dureté de la vie n’osent pas s’aventurer dans ce genre de problème quitte à même finir leur vie célibataire.»

Ces arguments sous-tendent nos idées avancées supra. Les femmes Sénégalaises très ambitieuses, sont sans mari parce qu’elles outrepassent les bornes. Quels sont alors selon vous, les meilleurs critères conseillés à une jeune femme pour faire le meilleur choix de son conjoint et à temps ?