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Jamiran Ali, une préposée aux vestiaires dans une salle de sport à Toronto vient d’atteindre son centenaire cette semaine. Lors de son anniversaire elle a accordée une interview au journal global news en discourant  sur ses secrets de longévité parmi lesquels une qui parait très ludique à savoir qu’il « faut beaucoup danser pour vivre longtemps ».

Pour rester toujours jeune et se sentir en pleine forme, il faut toujours danser. C’est ce que nous apprend une sportive âgé de 101 ans lors de son récent anniversaire. En effet, la centenaire canadienne très sportive, est née à Trinité-et-Tobago en 1918, elle est venue  au canada à l’âge de 54 ans où elle a commencé par faire « 100 relevés de buste tous les jours » sur une durée de 18 ans. Ainsi, ce faisant, elle a toujours gardé sa forme, sa santé et un aspect tonique. Mariée mais devenue veuve depuis 1992 et mère de 10 enfants, grande mère de 30 petit enfant , 41 arrière-petits-enfants selon les enquêtes.

Malgré l’évolution de l’âge de cette dernière, elle n’a pas perdu sa force. Elle s’auto-gère. Elle fait son ménage et sa cuisine elle-même. Parfois, en temps d’été, elle fait des marches à distance pour ses courses personnelles et pour rester active en hiver, elle marche dans les couloirs de son appartement .

Tout ceci, la rend heureuse et très jeune malgré son grand âge. Elle se sent alors entourée et comblée au milieu de sa famille et de ses amis. « Quand vous êtes heureux, vous ne vous sentez jamais seul,  je me sens jeune, je ne me sens pas du tout vieille », dit-elle, selon des propos rapporté par Global New.  

Par cette interview, elle invite tout le monde, particulièrement les jeunes et les adultes à faire comme elle en lui emboîtant les pas pour mieux et bien vivre. Elle affirme donc que danser, dormir suffisamment, manger des légumes et être entouré de ceux qu’on aime sont entre autres les clés d’une longue vie.

L’affaire ICC-Services en procès depuis le 17 décembre dernier devant la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET) a commencé par inquiéter les populations concernées. Cette affaire a suscité beaucoup de commentaires dans le rang de celle du département du Mono qui ont décidées de faire une marche ce mercredi 9 janvier 2019.

Les populations du département du Mono spoliées dans l’affaire ICC-Services désirent battre le macadam ce mercredi 9 janvier 2019. La marche a pour point de départ le CEG1 de Lokossa et pour point de chute la préfecture de cette même commune. L’objectif de cette marche est de demander justice et prendre par ce canal pour saluer la dynamique du chef de l’Etat qui a sortit ce dossier qui est entre temps rangé aux oubliettes. Cette marche offre une occasion pour ces spoliés de demander justice et rétrocession à eux de leur dû. Face à ce procès commencé depuis le 17 décembre dernier, les populations s’inquiètent de l’issue.

Elles demandent à travers cette marche, que justice soit faite et que la cour fasse preuve d’impartialité dans cette affaire d’escroquerie pour que tous les auteurs de ce scandale ne restent pas impuni mais qu’ils répondent de leurs actes.

Un hors-la-loi a volé le téléphone portable d’une lutteuse de 27 ans devant sa maison à Rio au Brésil. Ce braquage a mal tourné pour ce voleur. La victime en ayant la main sur lui l’a cruellement et violemment abattu avant de  faire intervenir la justice.

Un récidiviste de vol, n’ayant pas bien fait son plan est allé tomber sur un membre de l’Ultimate Fighting Championship (UFC) du nom de Polyana Viana. En effet, selon les informations relayées par la nouvelle tribune, la victime était dans l’attente d’un taxi quand le bandit ne sachant pas qui elle est l’a  attaquée et pointe sur lui un faux pistolet. Très vigilante, la lutteuse a su que le pistolet était « faux », mais par son professionnalisme, elle a facilement mis son agresseur à terre. Ainsi, avec quelques coups de poing et de pieds, elle a bien réglé le compte de ce hors-la-loi qui a transité par l’hôpital avant d’être fixé sur son dernier sort en prison.

Notons que le pistolet avec lequel il faisait peur à la lutteuse était encore en carton. L’a-t-elle soupçonné sur son compte instagram laissant voir même les images totalement amoché du voleur en question.

Un patient a fait un don pour le moins étonnant à l’équipe du service réanimation du centre hospitalier Edmond Garcin d’Aubagne (Bouches-du Rhône). Il a offert 60 bouteilles de champagne au personnel du centre.

Quand un médecin fait de son mieux pour sauver la vie d’un patient , on dit qu’il a réalisé un acte héroïque. Mais quand le malade témoigne sa reconnaissance à ceux qui l’ont ramené du couloir de la mort en leur offrant des champagnes, alors c’est la surprise générale. Et pourtant, un patient l’a fait à un centre hospitalier. En effet, selon France Bleu Provence, il a fait livrer 60 bouteilles de champagnes aux personnels du centre. « Je ne vous remercierai jamais assez de m’avoir donné une seconde vie », a écrit le patient .

Ce cadeau vient à point nommé pour remonter un temps soit peu, le moral du personnel du centre, hanté par le spectre d’une démolition progressive dudit centre. « C’est un beau geste gratifiant et motivant aussi, dans un hôpital un peu en déshérence », a expliqué le chef du service, le docteur Scemama, avant d’ajouter que « Il y a eu une suspicion de pouvoir fermer cette réanimation, donc on était un peu en sursis. Ce qui n’est plus le cas mais on faisait partie du lot des hôpitaux périphériques que l’on vise à détruire doucement. Cette surprise est  donc symbolique, tout ça est drôle par l’échelle, c’est une personne seulement qui amène 60 bouteilles ».

L’hôpital a prévu donner une bouteille à chaque membre du service, infirmières, médecins, aides-soignantes et techniciens.

L’heure est grave pour le site d’information Mediapart. Il est condamné ce mardi 8 janvier 2018, puisque un des ces articles serait tombé sous le coup de la diffamation. L’auteur de l’article et le directeur de publication sont donc contraint à payer des amandes et supprimer aussi certaines parties de leur article en question.

 Le site d’information Mediapart est condamné pour avoir publié un article jugé diffamatoire. Cette décision de la justice, rendue ce mardi, a trait à un article du journaliste investigateur Fanny Pigeaud qui avait pour titre « Comment le groupe Bolloré a ruiné deux entrepreneurs camerounais ». C’est un article qui a dénigré l’entreprise de Bolloré ; ce qui a été la cause de la faillite de ces deux entreprises. Ainsi, selon les décisions du tribunal correctionnel de Nanterre, le journaliste, Fanny Pigeaud ; l’auteur de l’article en question doit verser une amende de 1500 euros avec sursis ainsi que son directeur de publication, Edwy Plenel.

Notons que la décision de la justice ne s’arrête pas là ; ces deux employés de Médiapart sont obligés à payer solidairement 2.000 euros comme dédommagement  du préjudice à chaque partie civile de Vincent Bolloré ; celui sur qui on a diffamé et à deux de ses entreprises Bolloré SA et SAS Bolloré Africa Logistics.