• Algérie: un célèbre chanteur décède suite à une opération de chirurgie esthétique

    Le célèbre chanteur algérien du Raï, Houari Manar, est décédé dans la soirée de lundi à mardi 08 janvier 2019 à l’âge de 38 ans à la clinique chirurgicale Sidi Yahia à Alger suite à un arrêt cardiaque durant une opération de chirurgie esthétique ont rapporté les médias locaux.

    Les fans de rai sont en deuil depuis l’annonce du décès de Houari Manar. Véritable star en Algérie, l’enfant de la petite ville d’Oran, est passée de vie à trépas au cours d’une opération chirurgicale qui aurait mal tournée. Selon le site du Huffington Post Maghreb, ce accident serait survenue après l’administration médicamenteuse de l’anesthésiste qui a  provoqué la mort du chanteur.

    L’artiste qui passe la plupart de son temps entre Marseille et Alger, était venu  faire une lipposuccion, une opération de chirurgie esthétique permettant un remodelage de la silhouette par l’aspiration des amas graisseux rebelles et profonds résistants aux régimes amincissants  

    Selon certains médias algériens, l’anesthésiste aurait entraîné le musicien dans l’antre de la mort bien avant l’intervention de son chirurgien. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes réelles de cette mort tragique.

    Sur les réseaux sociaux, des milliers de fans ont rendu hommage à l’illustre disparu.

  • Bénin: para militaire et Magistrats en formation pour la lutte contre le blanchiment d’argent

    Pour lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme et autres infractions connexes, les agents de répression  criminelle et les autorités chargées des enquêtes et des  poursuites pénales sont en formation à compter de ce mardi 07 jusqu’au 25 janvier prochain à Cotonou.

    Au nombre de soixante-cinq, ces hommes et femmes de différents corps (policiers, douaniers, agents des eaux, forêts et chasse, magistrats) s’outillent en vue de faire rayonner la justice sociale et économique dans un contexte national et régional.

    En effet, c’est une formation qui est organisé à l’aide du projet « Renforcement de capacités dans la lutte contre le blanchiment de capitaux en Afrique de l’Ouest » de l’Union européenne et avec le soutien du groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest. Notons que la formation est venue à point nommé pour combler le vide du déficit de connaissance et pour apporter une plus-value à la sophistication des attaques afin d’améliorer des performances de l’administration judiciaire et apporter les réformes contribuant au bon fonctionnement des juridictions selon le directeur général de la police Républicaine Nazaire Hounnonkpè. Aussi, l’acquisition des connaissances issues de cette formation leur permettra de réduire le taux d’insécurité de notre pays et plusieurs maux qui y sont liés: « La criminalité organisée transfrontalière, la corruption, le trafic illégal de ressources naturelles et le blanchiment des gains illicites génèrent des flux financiers qui peuvent miner les institutions, mettre en danger la stabilité d’un pays et d’une région, et anéantir la prospérité des populations » déclare Véronique Janssen, chef adjoint de la Délégation de l’Union européenne au Bénin.  

    Par ailleurs, la partie béninoise se réjouit pleinement de la tenue de cette formation qui a plein d’avantages sur notre territoire national. Elle s’est donc résolu à réussir l’objectif du projet de l’union européenne cité supra. Cette formation traduira dans la réalité, l’adoption de la loi n°2018-17 relative à la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, et la loi n°2018-13 sur l’organisation judiciaire et la création de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).

  • Pays-Bas: un père de famille de 41 ans jette son bébé d’un an du premier étage

    Un homme de 41 ans est suspecté d’avoir jeté son enfant âgé d’un an du premier étage d’un appartement. Le drame a eu lieu le samedi 5 décembre 2019 vers 18h 00 à Ridderkerk, dans l’ouest des Pays-Bas.

    Une dispute serait à l’origine de cet acte ignoble. Selon des témoins, un homme s’est présenté à plusieurs reprises à la porte du domicile situé au premier étage. Mais l’occupante ne l’a pas autorisé à entrer. Ce n’est que plus tard, en début de soirée, que des habitants ont entendu une femme crier.

    La victime se trouvait dans un état critique au bas de l’immeuble. A ses côtés, sa mère pleurait en chaudes larmes, rapporte le site faitsdievsr.org.  L’enfant, grièvement blessé, a été transporté à l’hôpital. Son pronostic vital est engagé. Le suspect a été arrêté et placé en détention.

  • Bénin: Patrice Talon félicite les institutions pour leur dévouement à ses cotés

    Les membres des institutions de la République ont présenté leurs vœux au chef de l’Etat ce Mardi 08 décembre matin dans la grande salle de Sèmè City. C’était une occasion pour le chef de l’Etat de féliciter chacune de ses institutions pour leur accompagnement.

     Comme à l’accoutumé chaque année, les  membres des institutions de la République ont présenté ce matin, les vœux de cette nouvelle année à Patrice Talon. C’est la grande salle de Sèmè City qui a servi de cadre à cette cérémonie. Il faut noter qu’après la présentation des vœux, c’était aussi une occasion à la première autorité de la République du Bénin de féliciter les actions de ces institutions à ces cotés surtout dans l’accomplissement de sa mission.

    Ainsi, pour relever les défis de la République, notamment les prochaines élections législatives, Patrice Talon n’a pas passé sous silence leur apports. A cet effet, il souhaite que le débat soit placé au centre de ces élections : « de vrais débats de société (qui permettent) aux électeurs de faire un choix conséquent », a t’il affirmé. « Dans cette perspective, je ne doute pas que chacune de nos institutions jouera sa partition (…) Mon gouvernement prendra toute la part qui est la sienne (…) Il procédera sous peu à la convocation du corps électoral dans le strict respect des délais légaux », a t’il ajouté.

    Dans leur discussion, il martèle aussi que la collaboration de ces institutions permette de remporter la victoire sur les fléaux qui minent le développement de notre pays comme le sous-développement et la pauvreté.

    Par ailleurs, pour finir la séance, le Chef de l’Etat a salué l’harmonie qui existe entre les institutions dans leurs action dans la République «Nous félicitant de l’harmonie globale qui caractérise les rapports entre Institutions, je voudrais souhaiter qu’elle soit maintenue au cours des années à venir». Me Adrien Houngbedji, le porte parole des institutions n’a pas manqué d’énumérer dans le message des vœux formulés ; les réformes et les réalisations du gouvernement.

  • France: une enseignante de 47 ans victime d’un harcèlement

    Un petit groupe d’élèves a filmé sous la jupe d’une de ses enseignantes de 47 ans au collège Pierre-Darasse à Caussade dans le Tarn-et-Garonne. Un acte que l’enseignante même tente d’appréhender par le prisme des fêtes de fin d’années.

    Agé de 47ans, Hélène une professeur du collège Pierre-Darasse en France, a eu une terrible surprise de voir qu’un petit groupe d’élèves s’était amusé à prendre des photos sous sa jupe à l’orée de cette nouvelle année. Ces élèves malpoli et grossier avaient pris plusieurs photos d’elle qui laissait voir ses parties intimes avec un doigt d’honneur devant « j‘ai pensé que ça s’était produit une fois, que les élèves avaient pris un cliché une fois à mon insu. Mais non, quand je suis allée voir la gendarmerie, ça s’est fait sur plusieurs jours. Je n’étais même pas en jupe mais en pantalon, des gros plans sur mes fesses avec le doigt d’honneur devant. C’est pernicieux, ça mine. On croise des gens dans la rue, des élèves, ça se transforme en moqueries »a-t-elle dénoncé.

    Ainsi, elle a fait cette découverte seulement au commissariat au moment où elle devrait montrer les preuves pour se plaindre. A cet effet, Hélène a beurré la raie en racontant à la police et à quelques journalistes présents, les railleries et les lourds regards dont elle était victime dans la rue. Cependant, en guise de punition à ces grossiers au nombre de 4, deux ont été définitivement exclut de cet établissement  et les deux autres renvoyés temporairement. Hélène très déçu, se demande alors si cet acte qui ne fait que persister peut leur donner l’engouement de continuer dans leur métier « Ce qu’ils ont fait là, ça dépasse tellement la ligne rouge, ça détruit toute confiance. Ces derniers temps, je me suis dit : si c’est comme ça, si les jeunes deviennent ça, comment peut-on continuer sereinement son métier »

  • Lionel Messi bientôt actionnaire du FC Andorre ?

    Lionel Messi pourrait entrer dans le capital du modeste club du FC Andorre, si l’on en croit les informations émanant de l’autre côté des Pyrénées, a rapporté Goal.

    Comme d’autres footballeurs l’ont fait avant lui, Lionel Messi pourrait devenir un potentiel actionnaire d’un club. Selon le site Goal, la pulga aurait jeté son dévolu sur le petit club du FC Andorre. « Les pourparlers sont à un stade avancé mais rien n’est encore conclu », a fait savoir le FC Andorre lundi au sujet du quintuple Ballon d ‘Or. Le FC Andorre est actuellement pensionnaire de cinquième division, du championnat espagnol,

    C’est Gérard Piqué, le coéquipier en club du lutin argentin, qui aurait persuadé le barcelonais à investir dans une formation de basse échelle, mais qui pourrait à l’avenir se hisser en première division.

    En 2007/08, le club, accablé par la dette et une crise institutionnelle a été au bord de la disparition. Le 29 décembre 2018, le groupe Kosmos de Gérard Piqué a  racheté le club et purgé sa dette de plus de 200 000 euros. L’international espagnol a aussi promis verser cette somme chaque année au club pour lui permettre d’accéder à l’élite du football espagnol.

    À noter que l’une des clauses du contrat qui lie le FC Andorre à Kosmos exige que le club doit rester andorran et qu’une majorité des joueurs doivent provenir de cette ville.

  • Cameroun – Crise anglophone: deux commandants séparatistes tués par l’armée

    L’armée camerounaise a annoncé dimanche 6 janvier 2019, avoir tué deux commandants séparatistes armés dans le Sud-ouest du pays, une des régions les plus touchés par la crise anglophone qui secoue le nord du pays depuis quelques années.

    C’est par un communiqué relayé au petit matin de ce 6 janvier par les médias locaux, que l’armée camerounaise a certifié la mort des deux séparatistes anglophones qui hantaient le quotidien des populations. « Le général Obi, dont le groupe terrorisait les populations des localités de Mamfé, Okoyong, Bachuo Ntai, Bachuo Akagbe et Nchemba, a été neutralisé tôt le matin du 6 janvier 2019 », a déclaré l’armée, en précisant que «  l’opération menée par la force d’élite camerounaise, le Bataillon d’intervention rapide (BIR), a également neutralisé le général Eyong, l’un des commandants séparatistes », et que  « leur camp a été détruit et des armes ont été récupérées ou détruites ».

    Lors de son discours de fin d’année, le président camerounais, Paul Biya, en fonction depuis plusieurs décennies avait déclaré que « les séparatistes armés, seraient neutralisés s’ils ne déposaient pas les armes et ne suivaient pas la bonne voie ». C’est visiblement le passage à l’acte de ces menaces voilées du président qui se traduisent par les multiples raids de l’armée, ces derniers jours.

    La crise anglophone est née en octobre 2016, lorsque des camerounais des deux régions anglophones ont commencé à décrier, le déficit en infrastructures et la sous-représentativité dans les institutions. 

    Selon les Nations unies, plus de 430 000 camerounais ont été déplacés à l’intérieur du pays et au moins 30 000 autres ont fui vers le Nigeria voisin depuis le début du conflit.

  • Russie: une femme change de sexe pour échapper à ses dettes

    Une femme russe qui croulait sous des dettes a changé de sexe pour s’offrir une nouvelle identité et ainsi échapper à la justice. Elle accumulait 130 000 roubles de dettes, soit plus de 2 750 €.  Les huissiers ont précisé que cette opération n’entraînerait pas une annulation de ses dettes…

    Natalia, une Russe de 38 ans vivant à Astrakhan a eu recours à la chirurgie pour éviter d’avoir à solder ses dettes auprès des huissiers de justice de sa région, ont rapporté des médias russes. Elle s’est fait opérer pour devenir un homme et prendre l’identité d’un certain Andrian, en pensant qu’elle pourrait ainsi échapper au paiement de ses dettes.

    Malheureusement pour elle, son stratagème n’a pas donné le résultat  escompté. Le porte-parole des huissiers de l’Oblast d’Astrakhan a déclaré à l’AFP que « Andrian serait tout de même redevable des dettes qu’il avait accumulé avant son changement de sexe et qu’il serait poursuivi ».

    Depuis son changement de sexe, Andrian qui a disparu de la circulation, a vu le montant global de ses dettes augmenter car il n’a pas régler ses impôts. L’homme est toujours en fuite…

  • Bénin: un centre de traitement de la maladie à virus Ebola dans le Borgou

     Dans sa quête de lutte permanente contre les maladies à fièvres hémorragiques virales, le Bénin vient de se doter d’un centre de traitement de la maladie à virus Ebola (CTE), situé dans les locaux du Centre hospitaliers et Départemental du Borgou (CHD) à Parakou. L’annonce a été faite le dimanche 6 janvier 2019 à la radio nationale par le chef  du service départemental de la santé publique du Borgou, Dr Emmanuel Oboli.

    Dans ses explications, Dr Emmanuel Oboli a démontré tout le bien fondé dudit centre qui est doté de médecins qualifiés pour la tâche matériels adéquats respectant les normes fixées par l’OMS. Il a également fait savoir que ce centre est spécialisé dans le traitement des autres maladies à fièvres hémorragiques virales.  « Toutes les épidémies de fièvres hémorragiques virales, notamment Ebola, Lassa, ou Dengue, sont désormais diagnostiquées et traitées dans ce centre qualifié par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) », a-t-il affirmé.

    La construction de ce  centre qui a la capacité d’accueillir 16 malades est rendu possible grâce au concours financier de l’UNICEF. « Les vagues successives de malades causé par la fièvre hémorragique à virus Lassa, qui sévit depuis peu dans plusieurs localités du pays ont déjà été admis dans ce centre », a rappelé le chef du service départemental de la santé publique.

    Quinze (15) cas de la fièvre à virus Lassa ont été enregistrés depuis la détection du premier malade atteint de l’épidémie, parmi lesquels six(6) ont été confirmés, selon le ministère de la Santé publique.

  • Le Cambodge fête les 40 ans de la chute du régime génocidaire des Khmers rouges

    Les cambodgiens ont célébré ce lundi 7 janvier, les 40 ans de la chute des Khmers rouges. L’événement a été célébré en grande pompe devant un parterre de personne dans la capitale, Phnom Penh.

    Plus de 50 000 personnes ont assisté à cette commémoration ce matin, au stade olympique, vêtus de blanc a rapporté RFI. Tous unis comme un seul homme derrière leur premier ministre. Hun Sen, lui-même ancien Khmers rouges, les cambodgiens ont assisté avec ferveur à ce grand jubilé. « Aujourd’hui, nous célébrons cette cérémonie afin de raviver le souvenir ineffaçable des crimes les plus haineux du régime de Pol Pot », a déclaré Hun Sen.

    Les khmers rouges ayant à leur tète Pol Pot avaient instauré entre 1975 et 1979, un régime dictatorial d’une extrême violence qui a fait plus de deux millions de morts. Le régime de Pol Pot a chuté le 7 janvier 1979 à la suite d’une offensive vietnamienne à laquelle participait Hun Sen.

    Pour les témoins vivants de ces années noires, la nouvelle génération doit s’inspirer de cette époque sombre afin de toujours cultiver la paix. Parmi eux, Rattana, qui avait 10 ans lorsque le régime de Pol Pot est tombé. « Le 7 janvier 1979 est une date historique importante. On nous a libérés du régime génocidaire. Les jeunes aujourd’hui savent qu’ils doivent connaître cette histoire », a-t-il affirmé à RFI.

    Bien que cette période soit derrière eux, les cambodgiens trouvent que leur pays peut sombrer à tout moment dans la guerre surtout à cause des exactions de leur premier ministre, accroché au pouvoir depuis plus de trente ans et réduisant au silence, tout mouvement de protestation.