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  • PSG – Thomas Tuchel: « Neymar est triste »

    En conférence de presse le samedi 26 janvier 2019 à la veille de la réception de Rennes, comptant pour la 22e journée de ligue 1, Thomas Tuchel, le technicien allemand du PSG est revenu sur la blessure de Neymar contractée mercredi 23 janvier dernier.

    A moins de trois semaines du choc contre Manchester United comptant pour les 8e de finale aller de la ligue des champions, Neymar s’est de nouveau blessé. Tout porte à croire qu’à la veille de chaque échéance continentale, le joueur regagne l’infirmerie. Depuis son arrivée en Europe en 2013-2014, le brésilien a manqué plus de 50 matchs  sur blessure.

    En conférence de presse d’avant match contre Rennes, le coach du PSG a décrit la situation des joueurs qui sont à l’infirmerie du club.«Marco se sent beaucoup mieux, mais il ne peut pas encore s’entraîner sur le terrain ou avec le ballon. Mais, il peut courir un peu sans douleur. Tout le monde, les kinés et les docteurs, travaillent dur avec lui pour avoir les meilleurs résultats. Neymar et Marco sont les seuls absents pour le match contre Rennes. Presnel Kimpembe s’est entraîné cette semaine avec nous, il se sent bien. On décidera après l’entraînement du jour s’il peut commencer demain ou si c’est mieux de le faire entrer en cours de jeu », a expliqué Thomas Tuchel à Goal.

    Neymar est triste, je suis triste… La situation est horrible

    L e tacticien allemand en a profité pour donner quelques détails de la blessure de Neymar. « Le club a communiqué les détails de la blessure. Je n’ai rien à ajouter. Il a commencé les soins. On doit attendre. Tout dépend de l’évolution dans les prochains jours. C’est trop tôt pour déterminer la voie à suivre. Toutes les options sont possibles. Dans une semaine, on en saura plus. (…) », a-t-il déclaré.. L’ancien coach de Dortmund pense que malgré la blessure de son meneur de jeu, le PSG est aguerri pour discuter les prochaines joutes européennes. « Neymar est triste, je suis triste… La situation est horrible. D’abord Marco, et maintenant Ney… Ce sont des joueurs clés. Des joueurs qui ont des qualités énormes, extraordinaires. Ils nous manquent énormément. Mais en même temps, c’est notre défi de trouver des solutions. Ça doit être un effort collectif parce qu’on ne peut pas remplacer ces joueurs individuellement. Mais nous sommes une équipe forte, on est ensemble. Et on doit le montrer. J’ai confiance. On doit le faire. (…) On est un groupe très fort depuis des semaines. On a bien progressé. Et maintenant, on a un groupe très «serré», très fort. On s’entraîne avec beaucoup d’énergie et de qualité, un bon état d’esprit. Tout le monde est triste. Les deux manquent à tout le monde. Mais j’ai le sentiment qu’on est une équipe et un groupe fort, avec tout le monde capable de prendre des responsabilités et de continuer de gagner en jouant avec beaucoup d’effort et de qualité.», a-t-il assuré.

  • RDC: Félix Tshisékedi déjà en difficulté

    Élu nouveau président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi est désormais confronté aux réalités des exigences du pouvoir. Ces premiers jours à la tête du pays ne sont pas du miel à laper. Non seulement, il y a tout le poids de la charge de son pays sur son cou vu que le Congo est très vaste, mais aussi, un autre défi, c’est que tout au début de son mandat, il doit prendre des décisions et des mesures sociales avec leur plans d’action pouvant satisfaire les besoins de la population.

     « A peine proclamé cinquième président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi est confronté à une grogne sociale à laquelle il essaie de répondre avec son ancien colistier, qui est actuellement son directeur de cabinet ». Informe la radio France international (RFI) sur les premiers jours de la gestion du pouvoir de Félix Tshisekedi qui, déjà, passe des nuits blanches. Ainsi, ses premiers jours à la tête du pays ne sont pas du tout de tout repos. Juste trois jours après sa prestation de serment, les grognes sociales montent. Les étudiants de l’université, remplissant les rues, manifestent déjà contre la coupure de l’eau et d’électricité ainsi que l’augmentation des frais académiques. Ce qui a causé beaucoup de dommages dont trois morts. Néanmoins, ces étudiants n’ont pas eu gain de cause et le pire est que le réajustement des frais académiques a été suspendu.

    Outre cela, les employés de la société de transport du Congo ( transco) sont allés en grève ce mardi 29 janvier pour réclamer eux-aussi les arriérés ainsi que les avantages revendiqué. Mardi 29 janvier, le transport en commun est paralysé à Kinshasa, la capitale. Les employés de la Société de transports du Congo (Transco) entrent en grève pour réclamer des arriérés de salaire. Stipule RFI . Ils ont fini par avoir gain de cause suite à une rencontre tenue avec le directeur du cabinet Vital Kamerhe. Cependant, les bus de transco reprendront le trafic à compter de ce mercredi 30 janvier. « A la mi-journée, Vital Kamerhe rencontre la direction générale de cette société en présence des ministres des Finances et du Budget ainsi que de la délégation syndicale de l’entreprise. » a déclaré la même source.

    Le nouveau président Congolais est alors au bord du gouffre. Il lui faut alors beaucoup de travail et de courage pour satisfaire sa population.

  • RD Congo-Ebola: encore deux décès enregistrés

    Les autorités congolaises ont annoncé mardi 29 janvier 2019, le décès de deux militaires contaminés par la fièvre hémorragique à virus Ebola dans l’est du pays où le foyer de l’épidémie s’est déplacé vers le nord. Cela porte à 459 le nombre de décès depuis le début de l’épidémie.

    L’épidémie à virus Ebola qui sévit dans l’est de la république démocratique du Congo n’a pas fini de faire des ravages. Deux cas sont encore enregistrés cette semaine. En effet, sur cinq cas de contamination, deux sont déjà passé de vie à trépas, a indiqué le porte parole de la région de Beni à l’AFP, le major Mak Hazukay. « Deux de nos militaires sont morts de suites de la maladie à virus Ebola à Beni. Trois autres sont en observation », a déclaré à l’AFP le major Mak Hazukay, assurant que « toutes les mesures sont prises pour que la contamination des hommes des troupes soit stoppée ».

    Pour le chef de la zone de santé de Beni, le Dr Michel Tosalisa ces nouveaux cas sont dus à l’ignorance des populations qui pratiquent l’auto médication au lieu d’aller voir un médecin. « De nouveaux cas d’Ebola sont enregistrés ces derniers temps à cause de la résistance des populations. Même les hommes en uniformes sont atteints. Deux militaires sont morts et trois sont des cas suspects en observation », a affirmé le Dr Michel Tosalisa.

    Près de 500 décès depuis le début de l’épidémie

    Selon le dernier bilan du ministère de la santé daté du lundi 28 janvier,  révélé par Le Figaro, « Depuis le début de l’épidémie, le cumul des cas est de 736, dont 682 confirmés et 54 probables. Au total, il y a eu 459 décès (405 confirmés et 54 probables) et 257 personnes guéries »,    

    Depuis la détection du premier cas de la fièvre hémorragique, le 1er août 2018, dans la région de Beni (Nord-Kivu, est), l’épidémie s’est rapidement propagée vers la province voisine de l’Ituri (nord-est). D’après le ministère de la santé, la zone de santé de Katwa à Butembo, dans le Nord-Kivu, continue à être le principal foyer de l’épidémie d’Ebola ayant enregistré 65% (68/104) des nouveaux cas confirmés au cours des 21 derniers jours.

    Et pourtant, la pandémie pouvait être maîtrisée si la délinquance urbaine, les réticences communautaires et même les guerres tribales ne compliquent pas la tâche des agents sanitaires. Jusqu’à présent, certains pensent que le mal n’est qu’un mythe inventé par l’occident. A cela, s’ajoute le non respect des règles élémentaires d’hygiène. Les habitants vivant dans les régions où sévit la pandémie, continuent d’enterrer leur mort dans leurs concessions quand bien même ces derniers sont morts de l’épidémie. D’autre part, des groupes de délinquants perturbent les actions de la riposte en empêchant le bon déroulement d’activités importantes comme la vaccination, la désinfection des maisons et des objets utilisés par les malades et les enterrements dignes et sécurisés,

    La RDC fait face à la dixième épidémie de cette fièvre hémorragique depuis son apparition en 1976 dans la province de l’Équateur (nord-ouest).

  • Concert de Davido à Londres : sa prestation réussie suscite la rivalité avec Wizkid

    Wizkid et Davido, deux artistes d’origine nigérians ont toujours rivalisé par leurs prestations. De par leur notoriété, ils sont tous appréciés par leur public. Cependant, Davido s’est fait une fois encore démarqué par sa prestigieuse prestation lors de son dernier concert à Londres ; ce qui suscite la jalousie de Wizkid et créant une rivalité entre les deux artistes.

      Pendant que des internautes se demandent pourquoi faudrait-il entretenir cette rivalité, les fans dans les deux camps sortent les arguments qui montrent que c’est leur artiste qui est le meilleur. Face à cela, Davido est monté au créneau à travers un tweet et a affirmé que ce n’était pas important de savoir qui a réussi cet exploit le premier.

    Il faut souligner que les deux artistes se rivalisent et font souvent des concurrences dans leur prestation. Récemment, la rivalité entre les deux artistes a été remise sur la table après la diffusion en ligne d’une vidéo du dernier concert à guichets fermés de Davido à Londres. Face à cela, Davido est monté au créneau à travers un tweet et a affirmé que ce n’était pas important de savoir qui a réussi cet exploit le premier.

    Ainsi, avec la prestation de Davido qui touche le public, il totalise plus de sponsor, de partenaires et de fans plus que son ami Wizkid. Ce qui suscite beaucoup de jalousie et de rivalité du coté de son compagnon d’œuvre.  Mais il est à noter que Wizkid est le premier à jouer à ce jeu. «  Les fans de l’artiste Wizkid n’ont pas manqué de réagir après la diffusion de l’exploit réalisé par Davido. Un internaute a posté une vidéo dans laquelle Davido reconnaissait lui même qu’il avait voulu le faire après ce que “son frère” avait réalisé plus tôt en 2018. A travers une série de tweet, les fans de Wizkid ont insisté sur ce fait. Un fan de Wizkid est allé jusqu’à dire que le passé de Wizkid est le présent de Davido » a rappelé Afrikmag.

  • Australie: Quand la poule éternue (vidéo)

    Une vidéo virale montrant une poule éternuer, fait actuellement le tour des réseaux sociaux. Et même si la vidéo date de 2012, cette poule vivant à Brisbane en Australie connaît un véritable buzz sur Internet. Un éternuement qui a duré 10s.

  • Burkina Faso: 14 personnes assassinées dans la région du Sahel

    La presse locale a annoncé lundi 28 janvier 2019, une attaque perpétrée par des hommes armés dans une base militaire et dans un marché dans le village de Sikirè, au Burkina Faso, tuant 14 personnes. La piste terroriste est retenue.

    Le Burkina Faso est en deuil. Les terroristes ont encore frappé. En effet, au petit matin du lundi 28 janvier, des hommes armés ont attaqué une base de forces anti-terroristes à l’ouest dans la province de Soum à Nassoumbou, incendiant des tentes et du matériel et tuant quatre personnes, a indiqué le directeur de la télévision nationale locale, Bouma Nebie . La veille, ces assoiffés de sang avaient fait une incursion, en milieu de journée, dans le marché de cette province. Selon le ministre de la Sécurité, Ousseni Compaoré, le marché de Soum était plein, quand une douzaine d’hommes armés ont ouvert le feu sur des civils, faisant plus d’une dizaine de morts dimanches. « Une dizaine d’individus armés ont mené dans la matinée de dimanche, une attaque terroriste dans le village de Sikiré » a précisé le ministre de la Sécurité, Ousseni Compaoré, ajoutant qu’une enquête était en cour.

    La France a condamné ces attaques et s’est dit préoccupée par l’escalade des violences ciblant les forces de sécurité et les populations civiles « La France se tient, avec tous ses partenaires de la région, aux côtés du Burkina Faso face au terrorisme et est déterminée à poursuivre son appui aux efforts du président Kaboré et du nouveau gouvernement de M. Dabiré pour lutter contre ce fléau. » 


    Selon la presse burkinabaise, plus de 230 attaques terroristes ont eu lieu dans ce pays et l’état d’urgence a été décrété dans 14 provinces reparties sur six régions depuis janvier 2016

  • L’artiste ivoirien A’salfo rend hommage à sa femme

    L’artiste ivoirien A’salfo a accordé une interview à la radio Blondy Fm, le week-end dernier, au cour de laquelle, il a ouvert un pan de sa vie privée, faisant allusion à sa femme, il lui a décernée un satisfecit, louant ses soins à ses côtés.

    L’épouse de l’artiste ivoirienne a fait l’objet d’un hommage au détour de l’entrevue sur Blondy FM: « Avant quand je vivais les moments difficiles avec ma femme où on n’avait même pas 10.000f comme économie, souvent il arrivait que je me décourageais et je me plaignais beaucoup, je voulais souvent baisser les bras et pour me donner le moral et le sourire elle me disait « LONRAGE MON ÉPOUX, LONRAGE à toi ».

    A’salfo s’appuyant sur son expérience n’a pas manqué d’exhorter tous ses jeunes frères a faire preuve de discernement pendant leur moment de choix et de ne pas choisir une femme parce qu’ils ont besoins de femme mais choisir une femme parce qu’elle est vraiment femme.

    Dans ce sens, il les a interpellé à choisir une femme qui les motive, les soutienne et pense à eux, avant de penser à elle même. « Ayez une femme qui vous motive qui vous soutient qui pense à vous avant elle, qui prie pour vous et s’inquiète pour vous mais généralement ce genre de femme on se fout d’elle. Ce genre de femme rentre dans notre vie trois fois, si on la rate on épouse une Lucifer et on souffre ».    

  • CAN 2019: le Cameroun saisit le TAS

    L’association des Clubs de Football Amateur du Cameroun (ACFCA) a confirmé hier lundi 28 janvier, avoir adressé un courrier au tribunal arbitral du Sport pour qu’il se prononce sur le retrait de la CAN 2019 au Cameroun et sa réattribution à l’Egypte.

    Le 30 novembre dernier, la CAF avait retiré l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) au Cameroun. L’instance dirigeante du football africain avait justifié ce retrait par le retard criard dans l’exécution des travaux de construction des infrastructures sportives devant abriter la compétition. L’organisation de cette édition 2019, de la grande messe du football africain a été finalement attribuée à l’Egypte et la CAF a réglé cet épineux dossier à l’amiable avec les autorités camerounaises en leur confiant l’organisation de la prochaine édition celle de 2021.

    Mais ce compromis n’est pas du goût de tous les Camerounais, en l’occurrence l’Association des Clubs de Football Amateur du Cameroun (ACFAC), qui voit en ce retrait, une injustice à l’encontre du football camerounais. À l’initiative d’une centaine de clubs locaux, l’association a saisi le Tribunal arbitral du Sport (TAS) afin de contester non seulement le retrait de la CAN au Cameroun, mais également la désignation de l’Egypte comme nouveau pays-hôte. Dans un courrier rendu public lundi 28 janvier, l’ACFAC annonce que le TAS a ouvert une procédure arbitrale à ce sujet. « Le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) a ouvert ce jour, une procédure arbitrale sous le numéro TAS 2019/A/6111. (…) Les clubs concernés ont également déposé un appel contre la décision du Comité Exécutif de la CAF du 8 janvier 2019 qui a attribué l’organisation de la CAN 2019 à l’Egypte », précise le document.  « Ces initiatives visent uniquement à préserver les intérêts du football camerounais en obligeant les dirigeants de la CAF à mettre fin à l’imbroglio juridique créé par ce glissement qui est un principe inconnu des règlements de la CAF  », peut-on lire dans le courrier.

    Mais cette saisine de la TAS est-elle opportune à seulement quelques mois du coup d’envoi de la CAN (21 juin-19 juillet), surtout que les Comores ont aussi saisi le tribunal arbitral pour réclamer l’exclusion du Cameroun des qualifications à la CAN 2019 ?

  • Meghan Markle: la surprenante décision concernant sa grossesse

    La femme du prince du Royaume Unis, très réputée, a pris de nouvelles décisions relatives à l’accouchement de son bébé prévu pour très bientôt. 

    Meghan, la plus belle fille, des belles filles de la reine. La femme du prince a l’habitude de se faire démarquer par sa beauté, son coté vestimentaire ou autres. Elle s’impose souvent aux règles du palais en prenant des décisions unilatérales et fait à sa tête. A cause de son égo, elle ne s’entend vraiment pas avec sa belle sœur Kate Middleton. Parce qu’elle a l’autorité et pense que personne ne peut la contredire, elle a pris une décision très surprenante qui fait le tour de la toile.

    Cette décision a trait à sa maternité et elle l’a prise de façon unilatérale. Selon le magazine people Public.fr, Meghan n’a pas l’intention d’accoucher dans le même hôpital que Kate. La future maman a également décidé de ne pas faire appel à une nounou et compte élever son enfant seule, avec l’aide de sa mère, Doria Ragland pour les premiers mois.

    En ce qui concerne les cadeaux de bienvenue au bébé, Meghan est très stricte et rappelle la procédure à suivre. « Le protocole royal existe pour les cadeaux et que tout cadeau offert aux futurs parents royaux doit être “restitué respectueusement” ». L’arrivée du bambin est prévue pour le printemps prochain. D’ici là, nous attendrons impatiemment d’autres nouvelles, selon les informations de Afrikmag.

  • Maroc: le lait Modilac interdit aux nourrissons

    Le laboratoire Maphar a retiré du marché marocain, les produits laitiers commercialisés sous la marque Modilac pour éviter le risque de contamination par des salmonelles.

    Après la France, l’Algérie et la Tunisie, c’est le Maroc qui vient d’interdire la vente des produits laitiers de la marque Modilac sur son territoire. En effet, le laboratoire Maphar, vient de retirer du marché marocain, les produits commercialisés sous la marque Modilac, surtout ceux à base de protéines de riz, à cause de risques graves de contaminations des nourrissons par des salmonelles. Cette contamination conduit généralement à des gastro-entérites ou d’autres infections plus graves pouvant toucher les bébés et les vieillards.

    Cependant, le laboratoire n’a fait cas d’aucune contamination parmi les nouveau-nés ayant été allaités avec ce produit. L’alerte a été lancée le 24 janvier, après que quatre bébés, victimes d’intoxications avaient été hospitalisés en France après avoir été contaminés par des produits fabriqués sous cette marque en Espagne. La société Modilac a alors pris la décision de retirer toute une gamme de produits de sa ligne de fabrication. Mais au Maroc, les produits de la marque, surtout le lait contenant des protéines de riz continuaient d’être commercialisé.